
L'ONG "Coordination des jeunes Cadres volontaires pour le Futur ( CJCVF ), symbole "Jeunesse Action Solidaire" lance un cri du cœur au Président de la Transition sur la situation des enfants en République de Guinée.
Son Excellence Monsieur le Président de la République de Guinée, Colonel MAMADI DOUMBOUYA, chef de l'État, chef suprême des forces armées, Président du Comité National du Rassemblement pour le Développement, la Coordination des Jeunes Cadres Volontaires pour le Futur sigle (CJCVF) symbole "Jeunesse Action Solidaire", est un mouvement de jeunes activistes volontaires pour la promotion des initiatives de développement durable ayant trait la sauvegarde de l'environnement urbain et du cadre de vie, engagement citoyen qui participe à la sécurité sanitaire.
Monsieur le Président, d'après un constat de notre organisation « ONG » dans nos pays et les données statistiques fournies par le Fonds des Nations Unies pour l'Enfance, près de 40 % des enfants en Guinée ne sont pas scolarisés. Pourtant, l'éducation est un des droits fondamentaux reconnus, par la déclaration universelle des droits de l'homme. En 2021 ya eu plus de 320 cas de viols sur mineurs dû à l'abandon des parents et non application de la loi judiciaire. Dans l'optique de protéger l'article (352) du code de l'enfant et la lutte contre l'exploitation des mineurs par les parents en milieu urbain : Notamment dans les embouteillages et espaces publics. Monsieur, le Président, depuis l'avènement du (CNRD) au pouvoir en Guinée, nous avons eu beaucoup d' espoir et garanti pour stopper cette exploitation de l'homme et la privation des droits d'enfants qui est devenue une inquiétude pour la population guinéenne. Monsieur le Président, Nous devons agir collectivement pour freiner cette hémorragie sociale.
Parce que chaque jeune, fille et femmes comptent, on ne peut pas se permettre d'en perdre seul.
Nous vous prions de bien vouloir prendre en compte cette situation dans notre pays. Car vous êtes le seul espoir qui peut donner le sourire et l'espoir à ce bas peuple qui n'a pas où se plaindre, Monsieur, le Président, nous osons croire que vous saurez prendre en compte notre cri du pour trouver une solution dans cette phase de transition.
Contexte et justification
En République de Guinée, comme dans la plupart des pays africains, l'éducation nationale, la formation des jeunes, les forces vives de l'avenir restent au centre des préoccupations de développement durable. Chaque année, le gouvernement guinéen, soutenu par les partenaires au développement, renforce les efforts d'investissement dans le secteur de l'éducation nationale pour améliorer la qualité de l'enseignement et du système éducatif dans son ensemble. En termes de protection des personnes vulnérables, notamment les femmes et les enfants, filles et garçons, l'État guinéen a mis en place un certain nombre d'institutions régaliennes à caractère socio-éducatif pour aider cette frange défavorisée de la société. Cependant, nonobstant cette volonté politique manifeste d'assurer la protection sociale et l' éducation scolaire pour tous, le statut social des enfants demeure précaire avec un système peu éducatif prolifique. Le constat est édifiant à plus d'un titre et montre, qu'au-delà du progrès accompli en termes d'éducation avec un taux de scolarisation de 90,8 % en 2018, l'on n'estime que plus d'un millions d'enfants et adolescents Guinéens âgés de 6 à 16 ans ne sont pas scolarisés. Le taux d'achèvement des écoles primaires est encore faible : soit 54,1 %, environ. Une étude du Ministère de l'action sociale en (2016) indique que 54,6% de filles sont mariées avant l'âge requis. éducation avec un taux de scolarisation de 90,8 % en 2018, l'on n'estime que plus d'un million d'enfants et adolescents Guinéens âgés de 6 à 16 ans ne sont pas scolarisés. Le taux d'achèvement des écoles primaires est encore faible : soit 54,1 %, environ. Une étude du Ministère de l'action sociale en (2016) indique que 54,6% de filles sont mariées avant l'âge requis. éducation avec un taux de scolarisation de 90,8 % en 2018, l'on n'estime que plus d'un million d'enfants et adolescents Guinéens âgés de 6 à 16 ans ne sont pas scolarisés. Le taux d'achèvement des écoles primaires est encore faible : soit 54,1 %, environ. Une étude du Ministère de l'action sociale en (2016) indique que 54,6% de filles sont mariées avant l'âge requis.
Selon les statistiques fournies par l'Office de protection de l'enfance, deux à trois cas de viols sont enregistrés chaque jour à Conakry. A longueur de journée, tant en milieu urbain qu'en zone rurale, les enfants mineurs sont exclus de l'école mis au travail. Les filles sont obligatoirement soumises à l'excision et au mariage précoce. Le triste phénomène de société perdure et continue de gruger les enfants dans l'indifférence de tous.
Partant de ce constat déplorable qui ne peut laisser indifférent les institutions d'actions sociales et humanitaires en faveur des personnes vulnérables ; nous, jeunes volontaires de la CJCVF, Coordination des Jeunes Cadres Volontaires pour le Futur, avons décidé, de vous écrire ce plaidoyer en tant que, Président de la République de Guinée, Chef de l'État, Chef suprême des forces armées, Président du Comité National du Rassemblement pour le Développement. Pour prendre en compte toute la dimension éthique de l'éducation nationale qui prône l'école pour tous, bannit la lexcision et proscrit le mariage précoce. En prenant l'engagement de vous demander un plaidoyer qui concourt au renforcement des efforts de développement durable consentis par l'État guinéen, nous (CJCVF) veut concrétiser une aspiration légitime qui s'inscrit en droite ligne de la politique nationale de léducation scolaire préconisée en priorité dans le PNDS.
AU NOM DE LONG CJCVF